- Ne débattons plus de cette décision de justice d’ailleurs confirmée en appel en janvier 2009.
« Perrete,
sur sa tête ayant un pot de lait, bien posé sur un coussinet,
prétendait arriver sans encombre à la ville (...)
Perrete
la-dessus saute aussi, transportée : le lait tombe ; adieu veau vache,
cochon.»
Pour l’avenir, ce
jugement amène un défi
considérable pour les TO dépassant l’enjeux de la sécurité :
celui d’un renforcement
de la veille d’information (qui serait
« Top-taupes » !) motivant
des mises à jour régulières des destinations référencées. Les
réponses au défi
de la « société
contentieuse » sont connus d’autres secteurs
d’activité : culture de
l’écrit (protecteur), approche « résultats », logique
de conseil et
d’assurance qualité.
Les
réponses au défi
de la « société
contentieuse » sont connus d’autres secteurs
d’activité : culture de
l’écrit (protecteur), approche « résultats », logique
de conseil et
d’assurance qualité. Alors comment ont réagit les TO plongées à
l’emprise du
judiciaire : refus du défi ou interrogation collective sur
leur condition
de survie / développement ?
Trois premiers éléments de réponses tendent plutôt à la négation des enjeux :
- La réaction spontanée de la profession fût de tenter de caricaturer ce jugement (lire l’interview et les réactions : http://www.tourmag.com/Ultramarina-En-avril-2000-la-Malaisie-n-etait-pas-formellement-deconseillee-par-le-Quai-d-Orsay-_a13629.html). La jurisprudence créée n’amène pourtant pas à la responsabilité d’un TO en cas de tsunami, de météorites reçus sur la tête ou, pour citer un drame plus récent, de morsure mortelle de requin Longimanus
-
Je suis parti en 2005 à Sipadan en utilisant les services du TO condamné.
J’ai appris
sur place que les otages de Jolo étaient en fait de Sipadan. Pour
consolider la
confiance que j’avais pour ce TO, il m’aurait paru plus professionnel
d’expliquer en deux phrases ce qui a changé sur place depuis la prise
d’otage
notamment par la militarisation visible de l’île. Le TO condamné
effectue
désormais, à la lecture de son cahier des prix, un avertissement en
reportant
la position du Ministère des Affaires étrangères et en faisant signer
une
décharge de responsabilité.
- Déplaçons
nous sur l’île de Bornéo de l’autre côté de la frontière. L’île de
Maratua en
Indonésie représenterait pour certains une nouvelle perle de
l’indo-pacifique.
J’ai pris connaissance sur deux forums de deux témoignages décevants en
2008 et
2009 faisant état de pêche à la dynamite. Le récif serait détruit à 90
%
jusqu’à
Ainsi, tout en
espérant le développement
du top du TOP, et dans le doute, je m’abstiens, en topant directement
avec le
top des clubs !
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